De petits groupes de marchands campent souvent ici, lorsqu'ils désirent capturer des chevaux sauvages, car cette clairière de très petite taille se trouve non loin du lieu de vie secondaire du troupeau. C'est pourquoi on trouve en son milieu un cercle de pierre dont l'intérieur est couvert de cendres, et parfois même des humains endormis à même le sol, la tête appuyée contre des selles...
C'est ici que les humains pensaient faire passer les trains, mais l'idée a été abandonnée en même temps que le Bout des Rails après que leur projet de hisser la locomotive en haut de la colline grâce aux chevaux ai échoué. C'est désormais un chemin qu'utilisent souvent les marchands pour se diriger vers les terres des chevaux sauvages.
Juste à côté de la forêt se trouve ce lieu poussiéreux qui rappelle un peu certaines parties de la Plaine Aride ; au soleil, le sol sec prend une teinte or. Cependant, quelques petits buissons y ont poussé. La Petite Lande n'est en fait pas aussi petite que ça, elle s'étend sur près d'un kilomètre pour une largeur de plus de cinq-cent mètres.