Le temps s'écoule comme le flot d'une rivière d'argent. Il emporte avec lui les plus grands héros, les légendes que tous gardent dans leur cœur et ceux que l'histoire ne connaîtra jamais, car chaque cheval est à sa façon un héro. Ainsi va la vie. Spirit n'est désormais plus qu'une légende, une histoire que l'on raconte aux poulains. Certains veulent y croire encore, d'autres oublient. L'époque du mustang isabelle est révolue, et avec lui le répit laissés par les soldats aux chevaux sauvages et aux lakotas. Sans doute les guerres ne cesseront-elles jamais. La lignée du fier étalon s'est éteinte en même temps que le dernier de ses descendants fut tué en protégeant le troupeau qui jadis fut celui de l'isabelle. Mais le Cimarron n'est plus le même... Lire la suite.
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DESIGN ET CODAGE DU FORUM RÉALISÉS PAR L'ENSORCELEUSE
L'immense plaine aride, qui prend la majeure partie des terres de l'US Cavalry, est peu accueillante. La poussière que vous y soulevez à chaque pas fait pleurer et tousser, le sol sec et dur abîme les sabots, la soif et la faim vous prennent et rien à l'horizon, rien d'autre que ces terres de poussière. Et puis, vous tombez sur un coin où des touffes d'herbes percent le sol rocailleux, vous espérez voir de l'eau... Vainement. Dans toute l'immensité de la Plaine Aride, seuls trois points d'eau forment de petites oasis où l'herbe pousse verte et tendre, et où des arbres au feuillage ombrageant vous accueilleront. L'une de celles-ci se trouve juste à côté du Fort. Un quatrième point d'eau, le plus vaste, est le lac de la Plaine du Mirage.
Ces canyons auraient été creusés par les nombreux cours d'eau qui le parcouraient il y a bien des décennies, voir des siècles de cela. Désormais, la plus grande majorité de ces cours d'eau s'est asséchée, et ceux restant sont de petites rivières serpentant tout en bas des canyons. C'est un lieu dangereux, à cause de ses petites corniches, de ses gouffres que l'on ne voit qu'au dernier moment, et de sa roche friable. La pierre qui les compose a une belle couleur or, qui tire parfois vers les rouges.
Cette grande vallée est entourée de toute part par d'immenses falaises rocheuses. Il n'y a qu'un seul moyen d'y entrer ou d'en sortir vivant, et c'est une étroite bande de terre à peine visible qui serpente entre les falaises vers l'ouest de la vallée. Ce petit passage est tellement bien caché que certains chevaux de l'US Cavalry ne le connaissent même pas. Vous pourriez passer juste à côté sans le remarquer. La vallée renferme quelques points d'eau, qui ont permit à une herbe délicieuse et à de nombreux pins ombrageant d'y pousser. C'est l'un des endroits les plus agréables des terres de l'US Cavalry, et il n'est pas rare que quelques cavaliers fassent le voyage pour y lâcher leur montures ayant besoin de repos.
Ces rails s'étendent sur plusieurs kilomètres, formant un parcours sinueux. Si le chemin de fer n'a pas été achevé et que les humains ont construit une autre voix contournant le Cimarron, les trains circulent souvent jusqu'à la gare, mais ne vont jamais plus loin. Il arrive que des chevaux venus d'ailleurs et des humains descendent de ces trains, ou que d'autres y soient montés et plus jamais revus.
Cette grande forêt, qui regroupe une grande majorité de pins, couvre une bonne partie des terres des marchands. Elle doit sans doute son nom aux nombreux troncs d'arbres brisés que l'on peut rencontrer, mais personne n'en ai vraiment sûr. Peut-être est-ce juste une déformation de son nom d'origine.
Il s'agit de l'un des pièges naturels où les marchands poussent les chevaux sauvages afin de les capturer plus facilement. Ces falaises plutôt hautes forment également la fin de l'une des parties du Sentier Brun. Ce lieu n'est pas très grand, c'est même l'un des plus petits du Cimarron, si ce n'est le plus petit.
C'est dans cette vaste vallée boisée, entourée par d'immense falaises de roche, que les Lakota vivent. C'est un lieu agréable toute l'année : les forêts regorgent de proies, de fruits et de baies, et une rivière à l'eau claire serpente dans la vallée. Les falaises l'abritent du vent glacé l'hiver, et l'ombragent l'été.
Cette grande forêt se trouve être l'endroit où se côtoient une immense variété de végétaux différents. Certains arbres se dressent là depuis des siècles, voir des millénaires, aux côtés de jeunes pousses frêles. L'hiver, les pins subsistent, entre les branches décharnées des chênes et de tous ses autres arbres qui avaient prit pour quelques mois leur feuillage d'or, et qui se couvriront bientôt d’émeraude. La Rivière traverse cette forêt, et son écho s'entend, paraît-il, dans chacun de ses recoins, d'où son nom.
Cette forêt de pins, de taille moyenne, est traversée par la Rivière. Elle est assez sombre, du fait que les arbres sont proches. De nombreux chemins la parcourent, plus ou moins larges. Mais en dehors d'eux, les sous-bois sont denses, et renferment de nombreux épineux. De nombreux prédateurs rôdent aussi, alors prenez gare ! Cependant, les arbres sont plus espacés sur les bords de la forêt.
Cette vallée abrite une faune et une flore très variées. Les chevaux sauvages y trouvent tout ce dont ils ont besoin, et s'y plaisent beaucoup. Mais on y croise aussi de nombreux pumas et loups, attirés par les nombreuses proies de tout type qui y ont élu domicile...
Cette plaine est dominée par l'immense Volcan, éteint depuis bien des siècles, à qui elle doit son nom. C'est une plaine fertile à l'herbe savoureuse, où l'on peut encore trouver quelques roches volcaniques, vestiges du passé.
Cette vaste forêt regorge de vie, mais ne compte pas seulement des herbivores pacifiques... Beaucoup y ont croisé pumas, loups et ours, certains même des serpents venimeux. Cependant, si vous faîtes attention, vous pourrez galoper tranquillement entre les arbres, les rochers et les buissons.
Cette grande plaine est traversée par une petite rivière qui serpente entre les quelques pins qui ont poussé ici et là. On peut y voir quelques petites collines. Elle est très vaste ; on découvre un océan d'herbe verte jusqu'à l'horizon dans certaines de ses parties. Si on peut y voir quelques fleurs, l'herbe verte y est majoritaire, ce qui en fait un bon lieu pour brouter. Le chant des oiseaux et celui de la rivière ont sans doute contribué à lui donner le nom qu'elle porte.
Cette vaste plaine est entièrement couverte de neige, et ce, chose étrange, tout au long de l'année, même les étés particulièrement chauds. Les flocons y tombent souvent, et parfois si nombreux qu'il n'est pas rare d'être victime d'illusions si notre imagination est aiguisée et notre esprit tourné vers quelque chose en particulier...
Ces nombreuses collines sont plutôt grades, mais pas très hautes pour la plupart. Certains vous diront que ce lieu ressemble à un désert vert, les collines ressemblant à des dunes. L'herbe n'est pas spécialement haute ou goûteuse, mais c'est un lieu assez élégant, et le calme est assez doux aux oreilles de certains, car n'étant pas pourvues d'arbres, ces collines n'accueillent pas les oiseaux et leur gazouillements. Cette absence d'arbres sur la grande majorité de ce lieu fait aussi de celui-ci un endroit où l'ombre est rare.
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